Pochoir de Guaté Mao quai de la Charente


Observateur et patient, Guaté Mao a tout de suite opté pour le pochoir. "La technique m'a passionné. Par ses possibilités et son côté réaliste." Cherchant l'efficacité, l'artiste a aussitôt affiné son ouvrage pour n'avoir à fignoler que deux ou trois pochoirs par sujet. "Ça me prend cinq ou six heures de découpe et pas plus d'un quart d'heure pour la pose", note-t-il tout en détourant, à la lame de rasoir, et mèche à mèche, les cheveux d'une enfant croisée au Vietnam. Extrait de l'interview Guaté Mao, un pochoiriste vandale et fier de l’être !

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